Vos seins sont trop petits à votre goût ? La pose de prothèses mammaires pourrait bien vous débarrasser de ce complexe. Un ou deux bonnets en plus, et vous pourrez oser les robes décolletées ou encore les t-shirts à col V.

Mais avant de vous lancer dans une telle démarche, il serait raisonnable de vous renseigner sur les conditions de l’opération de pose de prothèses mammaires, afin de vous y préparer. Suivez donc ce guide !

Une augmentation mammaire, qu’est-ce que c’est ?

Il s’agit d’une intervention chirurgicale destinée à augmenter le volume de la poitrine, grâce à la pose de prothèses mammaires. En clair, l’équipe chirurgicale insère des implants mammaires dans le sein, afin de donner plus de volume à la poitrine. Les prothèses ont une durée de vie de huit ans pour celles en sérum physiologique, tandis que les implants en silicone durent entre 12 et 15 ans.

Après ce temps, il faut les remplacer, comme le précise Medassistance, spécialiste du changement d’implants mammaires en Tunisie. Pour des tarifs de 2 750 € et 2 550 € respectivement pour les prothèses anatomiques et les prothèses rondes, l’équipe du prestataire vous accompagne depuis les consultations jusqu’à votre sortie du bloc opératoire.

Comment choisir ses prothèses mammaires ?

Les candidates à une augmentation mammaire ont le choix entre deux principales catégories d’implants que sont :

• Les implants ronds qui donnent un aspect plus gonflé aux seins ;
• Les implants anatomiques, conçus pour épouser et reproduire la courbe naturelle de la poitrine.

Pour la plupart, les prothèses mammaires utilisées de nos jours sont constituées de gel de silicone plus ou moins dur. Elles donnent un rendu beaucoup plus naturel que les autres dans lesquelles on retrouve du sérum physiologique. L’avantage avec ces dernières étant qu’elles sont plus sûres en termes de sécurité, car le sérum physiologique ne crée pas de dégât dans l’organisme, s’il arrivait que la prothèse rompe.

Quant à l’enveloppe des prothèses, elle peut être soit en silicone, soit en mousse de polyuréthane, celle-ci étant réputée pour son adhérence à la glande mammaire, empêchant que l’implant ne se déplace. Cliquez ici pour en savoir davantage sur les différents types de prothèse mammaire.

La première consultation

Une fois votre décision prise, vous aurez un premier rendez-vous d’une demi-heure environ, avec votre chirurgien. Ça sera l’occasion non seulement pour ce dernier, de vous donner tous les détails nécessaires, de répondre à toutes vos questions, préoccupations et inquiétudes, mais aussi de vous aider à choisir les implants les mieux adaptés pour vous.

Il tiendra compte principalement de la tonicité et l’épaisseur de la peau. Si elle est trop fine par exemple, elle aura tendance à se relâcher sous le poids des implants. Le chirurgien vous conseillera alors des prothèses mammaires peu lourdes et qui correspondent à la taille de poitrine que vous désirez obtenir.

Le praticien vous interrogera également sur vos antécédents médicaux et chirurgicaux. Cela lui permettra d’éliminer des contre-indications éventuelles comme des problèmes de cardiologie, un trouble de la coagulation, etc.

Combien ça coûte ?

Une augmentation mammaire coûte entre 2 000 et 6 000 euros, en fonction des spécificités de l’opération.

L’intervention se fait sous anesthésie générale, même s’il peut arriver que la patiente soit mise sous anesthésie locale, à sa demande.

A la fin de l’opération, vous aurez des douleurs dans le thorax. Le chirurgien vous prescrira des antalgiques pour calmer les douleurs. La poitrine reste bandée pendant une semaine, et restera gonflée les 3 premières semaines. La cicatrisation va de 6 à 12 mois.

Les premières semaines après l’opération, il est recommandé de ne pas porter de charges lourdes. De même, vous ne devrez pratiquer aucune activité sportive durant le premier mois. On recommande aussi de porter un soutien-gorge de maintien.

Sachez enfin que le résultat définitif de la pose de vos prothèses mammaires ne sera visibile que dans un délai de six mois. Patience donc.